Dans le Paris de cette fin de siècle subsistent quelques lieux magiques où, le temps d'un verre, on peut encore côtoyer le rêve et l'utopie. À travers la chronique drôle et mélancolique d'un des derniers zincs parisiens - Le Verre à Soif - où flâne notamment l'ombre du poète André Laude, François Vignes compose, avec humour et clairvoyance, un tableau de la solitude contemporaine.